Merci Monsieur DI ANTONIO

Le permis est refusé !

mardi 6 novembre 2012

Vision de bien-être


Chaque commune est unique, par sa géographie, sa population, ses industries.  Il n’est pas obligatoire d’avoir tout, partout :
toutes  les  communes,  toutes,  des éoliennes ?!

C’est arrivé et ça arrrivera encore que des personnes qui étaient pour les éoliennes se soient retournées contre, après qu’elles soient placées.

Nous cherchons tous le bien-être de notre commune, plus de travail, plus de tourisme, l’éolien ne nous le donnera pas sinon une plus grande facture d’électricité et l’argent de la Wallonie qui s’en va.

N’y a-t-il pas des familles qui sont chômeuses de génération en génération ? Avez-vous entendu cet enfant dans notre région à qui on demandait ‘Que veux-tu faire plus tard ?’ et dont la réponse était : ‘je veux être chômeur comme maman’.

J’ai une vision de dizaines et dizaines d’emplois dans notre région ! 


Nous pourrons chercher à ce que des promoteurs construisent des hômes, nous pourrions développer des quartiers accueillants pour le 3ème âge, notre publicité sera  ‘il fait bon vivre ici ’ nous pouvons garder un label de qualité de vie unique en Belgique !
Nous sommes au début du Baby-boomers arrivant à la retraite ! on pourra être créatif car il y aura des visiteurs. On pourra nourrir le respect en privilégeant la relation des écoles avec les hômes par des pièces de théâtre par exemple et pourquoi pas, les orphelins de par chez nous pourront être parrainés par l’une ou l’autre de ces personnes âgées.

Les éoliennes ça endurcit, les gens serreront les dents à cause des nuisances et combien de nouveaux emplois cela amènera-t-il ? Cela profitera très bien à un petit nombre de porte-monnaie et j’aurai honte d’en faire partie !

Nous pourrions devenir une commune prospère, offrant des emplois de l’aide-jardinier aux médecins en passant par la logopédie, la cuisine, l’entretien général, les bureaux…, ce rêve peut être réalité et l’Enfant répondra : ‘Quand je serai grand, je travaillerai dans le hôme’.

Marga Markiewicz

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire